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Et bien voilà, je suis enfin de retour. Pourquoi cette pause? Pourquoi cette maintenance de blog? Pourquoi cette absence de malade mentale? Et bien, j’avais besoin de revoir les choses, à 0. Le chiffre 0 fait du bien. A mon moi intérieur, et mon petit esprit.

Une sorte de retrospective de soi. Portrait psychologique autobiographique. De la personne que nous étions, celle que nous sommes devenue, et que nous rêvons de devenir, dans l’optique de toujours s’améliorer. Parce que finalement, n’était-ce pas la le but de toute une vie? Bon, je vais essayer de pas être aussi barbante qu’un psychiatre vous demandant de vous allonger sur le fauteuil. Promis. J’avais besoin de partir un peu, de changer les choses qui m’embêtaient, pour mieux revenir. En force.

Je le fais très régulièrement, et bizarrement, à chaque changement personnel ou évolution je change de design. C’est comme si tout était lié. Bon, en fait, évidemment tout est lié. Puisque mon blog est exactement la personne que je suis. Le même humour (de merde), la même personne complètement folle, hystérique, et hyper positive sur la vie, les êtres humains de manière générale.

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♥ Old me, vieux moi. Manque de confiance en soi extrême.

Je suis à l’évidence une personne qui a très peu confiance en elle. Depuis toujours en fait. Avec le temps, on apprend, on grandit, on évolue, et certaines parties de toi s’en vont. Comme si tu ne l’avais jamais été finalement. J’avais tendance à tout prendre à coeur aussi, à être touchée par beaucoup de choses, même par des personnes qui ne me connaissaient pas, à m’en bouffer le moral, comme ça m’est déjà arrivé ici, au travers de commentaires pas très gentils.

♥ New me, nouveau moi. Manque de confiance en soi calmé.

Par le biais de la vieillesse, de l’évolution sociale, des amis, du boulot, des objectifs atteints, des ambitions nombreuses, des projets réussis, et même des échecs. Ah c’est ça grandir finalement? Alors, oui, maintenant je vais de l’avant, je n’écoute plus les personnes qui ne valent pas la peine, qui font des commentaires juste pour blesser, je grandis avec l’idée que, si des amis doivent disparaître de ma vie, c’est qu’ils n’étaient plus fais pour faire partis de ma vie. Et je crois que j’ai enfin franchi ce cap qui autrefois m’aurait bouffé la vie.

Je pense que ça se ressentira dans ce blog, tout beau, tout neuf (bon, évidemment, certaines modifications risquent d’arriver, mais je ne voulais pas le laisser en maintenance plus longtemps, bien trop excitée de le publier). J’espère que ça vous plaira, que vous serez toujours aussi nombreux(ses) à me suivre, car vos commentaires les gars, je vous raconte pas comment ça me fait du bien dans mon quotidien. De telle sorte que je ne pourrais plus m’en passer. Et pourtant, j’ai longtemps pensé arrêter. Mais Dieu merci, je ne l’ai pas fais.

 

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