Let the music play #1

Je vous présente ma nouvelle catégorie. La catégorie musique, parce que c’est un peu toute ma vie.

Je trouve l’inspiration assez forte en ce moment, toujours de nuit, of course. Je plane et vogue sur le web à la recherche de perles mode/beauté/lifestyle à ajouter à mes « wish list » aussi longues que mes jambes, tout en réfléchissant à la vie que je mène, notamment ces derniers temps. Et une seule chose revient toujours, vous savez, comme cette rengaine inébranlable, dont vous ne pouvez vous passer : je suis heureuse, c’est ainsi (ne vous déplaise).

Je ne baisse plus les bras, je me bats, envers et contre tout, je suis amoureuse de la vie, et pour parvenir à mes fins, qu’elles soient professionnelles ou passionnelles, une chose me guide, la musique. Rien de mieux, elle est indémodable, tout le monde l’aime, tout le monde même les moins intéressés par elle. Qui que ce soit, on finit tous par fredonner un air, sous la douche, dans le train, le bus, la voiture, les écouteurs sur les oreilles, ou non, au travail, lors d’un moment d’ennui, ou surtout des moments de joie, dans l’avion, en plein exercice scolaire, avec des amis pour se divertir.

La musique est un langage, sans limites, sans rien pour nous retenir. Elle est l’essence même de nos vies, car elle unit les coeurs, les réconforte, peut les rendre triste (aussi, oui, car ne nous voilons pas la face, écouter des musiques tristes les jours où le moral n’est pas n’aide vraiment pas à calmer nos envies de chialer un bon coup des heures durant) et donc, la musique vit, et nous fait vivre, et revivre. Je suis persuadée que si elle n’était pas là, certains individus en seraient d’autant plus moroses (déjà que beaucoup le sont déjà trop à mon goût). On est parfois triste à en crever, à en vomir jusqu’à dans nos tripes, jusqu’à ce que ça nous prenne le coeur, ce fameux « coup de poignard ». Ainsi, je lui devais bien ça. Avec, bien sûr, pour celles (et ceux?) que ça intéresse, ma playlist, plus ou moins au goût du jour, y’aura du vieux, du neuf, du vu et du revu, mais après tout, c’est super subjectif, et ça me ressemble, nous vous déplaise. Vous comprendrez à la fin de cet article pourquoi je me définis comme hétéroclite. Je suis du genre, ouverte d’esprit, à aimer toute sorte de choses, ce qui est valable pour la musique évidemment mais pour tant d’autres choses (enfin n’exagérons rien, si nous avions pu éviter le passage de certaines horreurs musicales telles que Cindy Sanders et autres, nous l’aurions sûrement fais, mais soit). La musique c’est juste ce qui m’est indispensable, une danseuse pourrait difficilement dire le contraire, remarque, no choice baby. Mais il semble évident que je baigne la dedans (grâce à mon merveilleux papa, of course), dès que j’étais susceptible d’entendre des sons via le ventre de maman. A trop parler, on en oublie l’essentiel, je sais. So, suite et fin de mes quelques coups de coeurs, have fun. Live music (surtout) et bon dimanche.